L'étude de l'ONU sur l'administration en ligne rendue possible grâce aux efforts de Volontaires en ligne de l'ONU

Les Volontaires en ligne de l'ONU sont sources de diversité et permettent d’élargir géographiquement l’aide à l’évaluation de l’administration en ligne parmi les États membres de l’ONU.

Quatre-vingt-seize Volontaires en ligne de l’ONU du monde entier mobilisés à travers le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) se sont engagés, pour la deuxième fois, à travailler avec le Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (DAES), afin de traiter les résultats d’enquêtes menées au sein des États membres de l’ONU, dans le cadre de l’étude des Nations Unies sur l’administration en ligne.

V-Force encourage les volontaires à relever les défis au Sri Lanka

L’initiative V-Force du programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) motive les volontaires et rassemble les communautés par la création d’un espace de communication entre les eux et les entités des Nations Unies et par le renforcement de la coopération afin d’atteindre les Objectifs de développement durable (ODD).

Les volontaires V-Force « se découvrent une passion » pour le développement communautaire

La décentralisation du processus décisionnel améliore les services publics dans des communautés du Kenya

Grâce au déploiement dans 37 comtés et deux institutions nationales de 40 Volontaires des Nations Unies nationaux, le Projet d’appui au processus de décentralisation au Kenya (2014-2018) améliore les services publics en intégrant des communautés locales aux processus décisionnels à travers le pays.

Une bonne gouvernance est essentielle aux prestations des services publics

En association avec le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU), ONU Femmes, et des bureaux du gouvernement national et des comtés du Kenya, le Projet de décentralisation, géré par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), promeut la collaboration entre communautés locales et fournisseurs de services publics nationaux en décentralisant la prise de décisions et garantissant la participation locale.

Briser les stéréotypes liés au genre

En avril 2015, suite au séisme au Népal, Amina Dhakal, ingénieure civile, s’est rendue à Karthali, Sindhupalchowk, afin de servir en tant que Volontaire de l’ONU.

En tant que l’une des treize femmes qui ont servi comme ingénieures dans les opérations de démolition et de gestion des décombres, organisées par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Amina est venue a porté assistance dans les régions touchées par le séisme, grâce à ses compétences, dans un domaine traditionnellement dominé par les hommes.

Un Volontaire de l’ONU intégralement financé par la République de Corée aide le Timor-Leste à prendre des mesures pour le climat

La première impression de Timor-Leste dont se souvient Sung-gil Lee, Volontaire de l’ONU, est plutôt appropriée : il s’agit de la chaleur écrasante qu’il a ressenti en sortant de l’avion qui l’amenait de son pays, la République de Corée, à l’aéroport de Dili. Sung-gil a commencé son affectation ce jour-là, en février 2016, en tant que Volontaire de l’ONU Spécialiste de l’environnement auprès du Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD). Il prendra bientôt en charge une série d’autres tâches pour aider les citoyens de Timor-Leste à agir contre le réchauffement climatique.

En tant que Spécialiste de l’environnement pour le programme VNU, intégralement financé par le gouvernement de la République de Corée, Sung-gil sert l’Unité du développement durable du programme PNUD à Timor-Leste. « Mon travail consiste à déterminer la façon d’assurer la durabilité environnemental de Timor-Leste. » explique-t-il.

De Jeunes Volontaires ONU mettent en œuvre un projet pour mettre fin à la défécation en plein air dans l’État du Kérala

« Les autorités gouvernementales reconnaissent que les volontaires travaillant pour l’initiative Nehru Yuva Kendra ont permis de mettre fin à cette problématique. » Toney Thomas est un jeune Volontaire des Nations Unies chargé de la coordination de la jeunesse dans l’État du Kérala, dans l’Inde du Sud. Un des défis auxquels est confronté le quartier d’Ernakulam est la défécation en plein air. Le mode de vie traditionnel et primitif continue d’être pratiqué par la population tribale qui habite le quartier, notamment la défécation en plein air. Cette situation découle de l’absence d’éducation et des communications limitées avec le monde extérieur.

Toney explique la situation : « La défécation en plein air représente une menace sérieuse pour la santé des enfants en Inde, alors que dans le pays, 188 000 enfants de moins de cinq ans meurent à cause de la diarrhée chaque année. Sans aucun soutien financier pour la planification préalable, j’ai pris le risque de m’attaquer à ce problème, en commençant par mobiliser plusieurs jeunes volontaires au sein de la collectivité ».

Une des zones les plus difficiles à atteindre est celle de Variyam, un petit village tribal niché au creux d’une forêt dense.

Malawi : renforcer le pouvoir d’action des femmes

Depuis mars 2016, Andrea Medaas, originaire de Norvège, aest déployé comme Jeune Volontaire des Nations Unies auprès du bureau de pays d’ONU Femmes de Lilongwe, au Malawi, au sein de l’unité programmatique d’autonomisation économique des femmes. À Lilongwe, Andrea et ses collègues travaillent dans un seul but : veiller à ce que les femmes du Malawi soient économiquement indépendantes et profitent du développement.

En tant que Jeune Volontaire des Nations Unies, Andrea est amenée à travailler sur différents projets, qui ont pour objectif commun de renforcer le pouvoir d’action des femmes dans tous ses aspects. Andrea peut se retrouver une semaine sur le terrain afin de superviser des formations en commerce et entrepreneuriat suivies par des membres de groupes de producteurs et, la semaine suivante, représenter son équipe programmatique lors d’une formation sur l’égalité des sexes et le changement climatique destinée aux membres du Parlement.

Améliorer les moyens de subsistance des femmes et des jeunes : le volontariat en action dans le Sikkim

« Nous devons inciter les jeunes et les femmes à prendre part à l’action. » Tel est le mot d’ordre de Sangita Dahal, Volontaire des Nations Unies nationale et Coordinatrice du Département de la Jeunesse à Namchi, dans le Sikkim, un État du nord-est de l’Inde. Le Sikkim du Sud est en passe de devenir l’une des régions bénéficiant de la plus forte croissance dans le pays, et les femmes du district de Namchi veulent acquérir des compétences et examiner les possibilités de sources de revenus qui leur permettront de devenir autonomes. Les jeunes sont, quant à eux, considérés comme un groupe vulnérable aux activités antisociales, notamment la consommation et le trafic de drogue.

L’affectation de Sangita l’amène à travailler avec de nombreux groupes et communautés. « Dans le cadre du projet que je gère, explique-t-elle, 12 jeunes volontaires communautaires mettent en œuvre des activités et des campagnes afin de faire connaître les groupes d’entraide de femmes, de promouvoir les connaissances financières et d’encourager la participation des jeunes aux programmes gouvernementaux. Ils organisent aussi des activités de dons du sang et des stages d’initiation aux questions de santé. »

La protection des personnes déplacées, spécialement des femmes et des filles

La Journée internationale de la femme est l’occasion de reconnaître les contributions des femmes à travers le monde et rappelle qu’il reste encore de nombreux défis à relever pour parvenir à l’égalité entre les femmes et les hommes.

La volontaire internationale des Nations Unies d’origine italienne, Serena Ricci, est affectée au bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à Goma, une ville à l’est de la République démocratique du Congo (RDC), en tant que spécialiste chargée de la protection. Son rôle est d’assurer la protection des réfugiés, des femmes, des filles, des hommes, des garçons qui ont été déplacés de force ainsi que des personnes ayant des besoins spécifiques.

Réaffirmer le rôle des femmes et leur participation

« Le simple fait que les femmes soient investies dans la vie économique ne signifie pas pour autant qu’elles bénéficient d’un travail décent, ni que leur contribution est entièrement reconnue », déclare Anita Bianchi une Jeune Volontaire de l’ONU œuvrant pour le développement du secteur privé à travers le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) au Soudan, et dont l’affectation est financée par le gouvernement italien.

Le Soudan est un pays vaste et varié, arborant de nombreuses facettes. Les paysages témoignent de cette diversité, qui s’étend des déserts chauds aux régions verdoyantes situées autour du Nil. La même diversité caractérise les visages des personnes que vous rencontrez. Mon expérience qui consistait à investir les femmes dans le cadre de la mission s’est révélée également pleinement variée.