Les jeunes s’engagent pour la paix et la libre circulation en Centrafrique

Les jeunes s’engagent pour la paix et la libre circulation en Centrafrique

Promouvoir une société juste, pacifique et inclusive en Bolivie

Pendant ma mission de deux ans en Bolivie, j’ai apporté mon soutien à l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) afin de promouvoir et mettre en œuvre des actions visant à atteindre l’Objectif du Développement Durable nº16: ¨Paix, justice et institutions efficaces¨. J’ai eu l’opportunité de contribuer, à mon niveau, à la construction d’une société pacifique et inclusive, autour d’institutions efficaces et responsables assurant l’accès de tous à la justice. Mon engagement solide de volontaire m’a permis de m’épanouir de la meilleure des façons en tant qu’individu et en tant que professionnel.

Mon arrivée en Bolivie à la fin de l’année 2015 s’est faite à un moment charnière, à la fois pour le pays et pour l’organisation que je me préparais à servir. D’une part, la Bolivie s’apprêtait à réaliser son premier Sommet de la Justice, aboutissement d’un long processus de réflexion et de consultations visant à jeter les bases d’une réforme intégrale de la justice dans le pays. D’autre part, il incombait à l’ONUDC d’élaborer un nouveau cadre pluriannuel d’assistance pour la période 2016-2020, qui prenne pleinement en compte l’Agenda 2030 pour le Développement Durable.

Le RSSG aux volontaires de l'ONU en RCA : "Ce que vous faîtes est l'essecne de ce que nous devons être"

Ils sont plus de 300 volontaires des Nations Unies et plus d’un millier d’autres, membres d’organisations non gouvernementales à mettre à contribution leurs compétences et expériences en faveur de la stabilisation et du relèvement de la Centrafrique, dans des domaines aussi nombreux que variés, qu’il s’agisse de l’administration, de la logistique, de l’humanitaire, des droits de l’homme, de la protection des enfants, des affaires politiques, de la communication, des affaires civiles que de l’assainissement.

 

 

Communiquer pour soutenir les déplacés du Pool au Congo

Communicatrice passionnée, je suis Volontaire de l’ONU au Congo depuis octobre 2015. Je travaille en tant que spécialiste en communication au Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) au Congo Brazzaville.

Captivant, mon travail est très animé au quotidien. Je fais la promotion des projets du PNUD et du Système des Nations Unies et travaille avec les partenaires nationaux et internationaux pour soutenir nos actions et assurer la visibilité de nos résultats. Je contribue à coordonner la communication des agences des Nations Unies dans le pays avec les autres chargés de communication de l’ONU. Je rencontre régulièrement les bénéficiaires du PNUD, notamment les jeunes, pour réaliser des entretiens ou des reportages.

Providing security and maintaining peace in Northern Mali

Mon inspiration, je l’ai tirée de tous ces volontaires que j’ai rencontré au Darfour. Mon modèle est le Système des Nations Unies avec tous ses volontaires et leur idées géniales. Ils habitent souvent loin de leurs familles et dans certains cas, ils servent dans un environnement hostile. Servir pour le maintien de la paix est un objectif auquel chacun devrait penser et l’inclure dans son quotidien.

Mon nom est Ouedraogo Mohamadi. Je suis Volontaire des Nations Unies Analyste d’information au Centre d'analyse conjoint de la Mission (JMAC) de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA). Je suis affecté dans le nord du Mali, tout d'abord à Kidal et maintenant à Gao. Je suis chargé de collectionner et analyser les informations dans le cadre du mandat de la MINUSMA et de les transmettre à mes chefs.

Des Volontaires ONU effectuent des inspections de l’aide humanitaire entre la Turquie et la Syrie

Cinq Volontaires des Nations Unies travaillent en étroite collaboration avec les douaniers locaux à Gaziantep, en Turquie, pour effectuer des inspections visuelles et physiques des chargements des Nations Unies en partance pour la Syrie.

Depuis le début des opérations transfrontalières, en juillet 2014, le matériel d’aide humanitaire envoyé par les organismes des Nations Unies parvient jusqu’aux installations de l’ONU situées en Turquie. Ce matériel quitte ensuite le transport international routier turc pour emprunter son équivalent syrien.

Volontaires ONU aident à la reconstruction des communautés affectés par le séisme en Équateur

Après le séisme de magnitude 7.8 qui a frappé l’Équateur en avril 2016, affectant la vie d’environ 720 000 personnes et forçant 30 000 victimes à se réfugier dans des campements temporaires, les Volontaires des Nations Unies sont venus prêter main forte aux agences de onusiennes grâce à la mobilisation rapide de 29 Volontaires ONU nationaux et trois Volontaires ONU internationaux. Ils ont participé à l’intervention d’urgence, la plupart d’entre eux dans les zones directement touchées par le séisme.

Pendant les trois premières semaines après le séisme, le programme VNU a mobilisé cinq Volontaires des Nations Unies afin qu’ils viennent immédiatement en aide aux agences de l’organisation. Les Volontaires restants ont été déployés au cours des trois mois ayant suivi la catastrophe.

Assurer la protection des populations victimes des conflits dans le nord Kivu

Depuis 2015, la Volontaire ONU internationale Jeanne Warnet (France) est affectée au sein du bureau conjoint des Nations Unies pour les droits de l'homme (double mandat OHCDH et MONUSCO) en tant qu'officier des droits de l'homme au bureau de terrain de Goma.

A 30 ans, et suite à une première expérience en droit pénal et droit des étrangers et d'asile, Jeanne est affectée comme officier des droits de l'homme au sein du département reporting et enquêtes particulières. Les bénéficiaires des actions qu’elle mène avec son bureau, sont les populations civiles du nord Kivu, victimes d’un conflit qui dure depuis plusieurs décennies.

Mon rôle? Raconter et redonner de l'espoir dans un contexte humanitaire difficile

Prise au piège d’un conflit qui ne dit pas son nom, une partie de la population malienne continue à fuir le pays pour trouver refuge en Mauritanie. Au printemps dernier, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a fait savoir qu’en huit mois, ce sont plus de 5 400 Maliens qui ont traversé la frontière pour venir se réfugier dans le camp de Mbera en Mauritanie, qui abrite déjà plus de 50 000 réfugiés et demandeurs d'asile. Il s'agit du plus important afflux de réfugiés en provenance du nord du Mali depuis 2013.

Helena Pes (Italy) is an international UN Volunteer serving in the Mbera camp, Mauritania, with the UN High Commissioner for Refugees (UNHCR). "The situation in northern Mali remains unstable and in these conditions, influx of refugees is unpredictable," she explains. Since 2012, several populations fled from Northern Mali due to conflict and the fear of oppression. Most of the more than 51,000 refugees in the camp are Touareg, co-habiting with Arab, Fula, and Songhai refugees.